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Medj est une lumière dans la nuit, un lieu d’ouverture pour Dieu.
Medjugorje
a été la réconciliation de mon âme avec
le Seigneur. Dans le monde moderne, Dieu semble peu à peu
disparaître de nos cœurs et perdre en valeur. Donc j’y
allais au départ pour y retrouver ma foi, laissée
de coté depuis un certain temps, tout en faisant un voyage
avec cinquante jeunes. En gros l’Esprit Saint m’a guidé sur
ce chemin de la vérité, de la sincérité,
et j’ai répondu à cet appel !
Là, j’y ai d’abord découvert des personnes avec des
cœurs généreux, des amitiés sincères,
avec aucun à priori, voulant aller toujours de l’avant. Et
une fois sur place: Medj est une lumière dans la nuit, un
lieu d’ouverture pour Dieu. J’y ai trouvé un temps de
grâce, de réflexions sur moi même, et des réponses
sur l’importance de la vie. Nous sommes appelé pour œuvrer
à un monde meilleur, plus juste. La prière y est si
simple, et nos cœurs s’y sont ouverts, à la prière!
Je me suis surpris moi-même, et j’en redemandai !
Mais notre rôle ne fait que commencer !
En union de prière. Olivier
Medj c’est le carrefour entre l’amour du Christ et de Marie
Medj c’est le carrefour entre l’amour du Christ et de Marie. J’ai vécu (pendant 1 semaine) avec une personne dans mon cœur, c’était Marie qui me portait.....et quelles grâces en revenant sur Paris, et même longtemps après !! AMEN SEIGNEUR ! GLOIRE A TOI !
Mes amis aussi ont été touché de me voir si confiante dans la vie.
Il
faut dire que ma situation était particulière car
je n’avais pas d’impératifs professionnels et me suis inscrite
peu de temps avant le départ. Je suis partie à Medjugorje
en connaissant une personne du groupe et en ayant le programme peu
descriptif de la semaine de pèlerinage. J’ai pris la décision
de partir en deux heures de temps.
Je ne m’étais pas préparée à prier,
à échanger et surtout à recevoir pendant une
semaine.
Je n’attendais rien car je n’avais jamais eu de témoignage
sur ce pèlerinage.
Les enseignements du Père dès la messe de départ
ont donné la couleur de ce qu’allait être la semaine.
Le fait de "lâcher nos clés", comme il nous
l’a été demandé a été un gros
travail pour beaucoup d’entre nous, en tout les cas sur moi. Il
s’agissait d’être simple, d’écouter tous les signes
de Marie, de Medjugorje et de Recevoir. Ceci sans se limiter, sans
mettre de barrières.
C’est ce que j’ai tenté de faire. Sur le moment, j’ai cru
que j’avais échoué, que je ne profitais pas pleinement
de cette semaine riche de bonheur.
C’est de retour à Paris, en revoyant mes amis qui ne sont
pas partis que j’ai vu le bénéfice, le changement.
Eux aussi ont été touché de me voir si confiante
dans la vie. Laetitia
Ce que j’ai trouvé d’extraordinaire, c’est la joie et la paix qui y règne.
Médjugorje
!
Si vous ne connaissez pas ce lieu, peut-être que l’avenir
vous le fera connaître et je vous le souhaite.
En attendant, je veux simplement vous parler de ma visite.
J’ai
découvert cet endroit en mai 2003 lors d’un voyage organisé
par deux amis et accompagné d’une cinquantaine de jeunes
"volontaires", plus ou moins inconscients de ce qui leur
arrivait.
Pour
ma part, ma décision de partir n’était pas motivée
par de veritables raisons telles qu’un besoin de prendre du recul
par rapport à des questions sur un futur existanciel flou
mais plutôt une envie de voyager et de mettre un peu de spiritualité
(dans les 2 sens du terme !) dans ma petite vie. En résumé,
joindre l’utile à l’agréable.
Ce
que j’ai trouvé là-bas, n’a rien d’exceptionnel pour
un voyageur ; le lieu n’est ni riche ni beau avec une architecture
pauvre, plutôt moderne, et une histoire marquée par
la guerre. Mais ce que j’ai trouvé d’extraordinaire, c’est le bonheur
et la paix qui y règnent, une colonie de vacances pour
nos âmes !
Je me suis sentie rajeunir, encore que la joie de notre groupe a
favorisé cette impression d’enfance retrouvée.
Nous avons assisté à des témoignages de foi
forts et sincères, des exemples de courage et de simplicité
qui sont des leçons de vie pour tous.
J’avoue
enfin, que le retour au quotidien, l’atterrissage, n’a pas été
évident.
Mais avec quelques mois de recul, je garde le sentiment d’une experience
intérieure particulièrement riche qui m’a rempli d’espèrance.
"Soyez
comme des petits enfants" et ayez confiance.
Je sens bien qu’il y a encore beaucoup de travail à faire, c’est pourquoi j’ai très envie de retourner à Medj ...
Pour
moi Medj cela a tout d’abord été l’occasion de passer
des vacances différentes, l’occasion de prendre le temps
de réfléchir à soi-même, au sens que
l’on veut donner à sa vie.
Un pélé à Medj c’est un peu comme une cure,
une semaine de "remise en forme spirituelle" en quelque
sorte, aidée par des rencontres riches et des témoignages
bouleversants. En bref, cela fait un bien fou, surtout que depuis
quelques années j’avais un peu mis Dieu de côté.
Bien sur quand on revient de Medj on est un peu sur son petit nuage,
mais il faut revenir à la réalité et l’on se
rend très vite compte que sorti de ce contexte si profond,
il est bien plus difficile de prier. Medj ne m’a pas métamorphosée,
mais petit à petit, notamment grace aux rendez-vous "post
Medj" (chapelet, groupes de prière ...), j’essaye de
placer Dieu plus au cœur de ma vie. Je sens bien qu’il y a encore
beaucoup de travail à faire, c’est pourquoi j’ai très
envie de retourner à Medj ...
Si un jour je doute, ce petit bout de terre baigné de lumière divine saura me redonner courage et confiance
Medjugorge…
Drôle de nom pour une destination de pèlerinage. C’est
pourtant de ce lieu dont Stéphanie me rabache les oreilles
depuis 2 ans. De toute façon, c’est foutu : la date limite
d’inscription est ce soir… Mais Steph me pousse : "fonce,
envoie ton chèque… si la Vierge le veut, tu iras ".
Et apparemment, la Vierge est dans le coup car je me retrouve quelques
semaines plus tard dans un car rempli de jeunes péchus !
J’angoisse : ils doivent tous être illuminés par l’Esprit.
Je ne ressemble à rien, moi, avec mes doutes. Et puis, je
n’y crois pas moi à leurs apparitions journalières….
Paris,
Lyon, le Midi, Venise… Au fil des kilomètres et des
" petites phrases qui font réfléchir " dont
Francesco a le secret, je me sens " fondre de l’intérieur
" : mes neurones restent sur le " qui-vive " mais
je découvre pourquoi je sus venue : les blessures que je
croyais refermées ont laissées des cicatrices. Et
voilà que je pleure… des larmes silencieuses et incontrôlées
tombent…. Je crois que j’ai pleuré pendant 24h…
mais ensuite, je me suis sentie " lavée " et sereine…
Arrivée
à Medj. Premier achat: un chapelet. Là-bas, tout le
monde se balade un chapelet au poignet. Moi qui ne percevais pas
trop ce qu’égrener ces petites boules apportait, je me mets
à passer des heures à dire des " je vous salue
Marie " et des " Notre Père " ! Et en croate
en plus ! Le chapelet m’apporte cette paix intérieure dont
j’ai soif.
Chemin
de croix, enseignements, témoignages, homélies bouleversantes,
deux regards qui se croisent embués de larmes au pied de
la Croix Bleue, le regard pétillant de Sœur Claire-Marie…
ce n’est ni un ouragan, ni le feu, ni la Vierge que j’ai vu à
Medjugorge : comme Isaïe dans la montagne qui percevait Dieu
dans une brise légère, j’ai vu Dieu à l’œuvre
à Medj dans plein de petits riens, des milliers de détails
qui m’ont parlés et touchés.
Je
ne suis pas rentrée transfigurée de ce voyage dans
l’Adriatique, mais quelque chose a cependant changé dans
ma vie : outre le fait que je pratique régulièrement
la prière du chapelet, j’ai aussi acquis la certitude que
je n’étais pas seule, que je devais être sereine sur
l’avenir et que si un jour j’en doutais, ce petit bout de terre
baigné de lumière divine saurait me redonner courage
et confiance.
Medj a été pour moi un moment très fort, très riche, humainement et spirituellement.
Medj a été pour moi un moment très fort, très riche, humainement et spirituellement. En vrac, comme cela me vient, je retiendrai le sourire lumineux de Sœur Claire-Marie, le visage de Jésus sur la Croix dans la chapelle de l’Oasis de la Paix, que j’ai longuement contemplé et qui m’a "scotché", vos témoignages dans le car (moments de partage), mes larmes d’émotion, ma confession avec le Père Francesco, ses paroles avant de plonger dans les bras de Morphée ou bien était-ce dans ceux de la Douce Marie?, les messes, les louanges, les visages radiaux, et tant d’autres émotions ... pour la suite, il suffit de lire les mails pour comprendre que Notre Mère fait des miracles: fiancailles, mariages, guérisons, tous ces RDV spi. Parfois, ça me donne l’envie d’être plus souvent à Paris..nous, à Nantes, on fait un chap. toutes les semaines, c’est pas mal non plus...
Céline
Levons nos têtes sans cesse vers un Dieu qui est amour !
"En
pièce jointe, un super plan, organisé par des gens
à fond !!! ". Voilà, en substance, le mail que
j’ai reçu au début de l’hiver.
Il se trouve qu’à cette époque-là, j’avais
une réelle envie de cassure dans mon rythme spirituel, et
puis, " Medj ", c’était la seule certitude dans
mes projets des 6 mois à venir, celle qui me consolait des
moments un peu pénibles que je traversais. Alors, je me suis
inscrite, point barre, sans plus me torturer le crâne.
Quelques
mois plus tard, nous voilà donc partis, à 50 dans
un bus, avec un prêtre qui dépote, tous assoiffés
d’une expérience de vérité.
On chante, on gratte la guitare, on rit, on lève les bras
bien haut ( !), on se fait une bataille de polochons, on visite,
on se livre, on prie, on écoute parfois interloqués
les paroles du Padre…, et nos cœurs sont bousculés,
" violentés " par tous ces témoignages,
ces phrases " brutes de décoffrage ", ces messes
en plein air, ces jeûnes… !
Tous ces temps ensemble, ces temps " avant Medj " sont
si importants ! Ils permettent de s’abstraire de nos vies de tous
les jours, de nos réflexes de gens sociables et si "
mondains " ! Ils permettent d’aller au fond de nos cœurs
; " ne pas rester à la surface de nous-même "
cela ne nous pend pas au nez en arrivant dans ce lieu rempli de
grâces ! J’ai vu sur les visages de mes compagnons tant d’émotions
touchantes et sincères !!
À
Medj, j’ai été bouleversée par la ferveur palpable
de la prière des pèlerins, des habitants, et par la
primauté donnée à l’eucharistie, miracle offert
tous les jours. C’était tellement bon toute cette douceur
et cette impression d’être les " chouchous " de
Marie !
Là-bas,
au pied du grand Christ en bronze, je me suis aperçue que
ce n’était pas une réponse que j’étais venue
trouver, mais que c’était une réponse que je devais
donner. Alors j’ai dit OUI, tout simplement (mais non sans des forts
moments de doute tout au long du pélé),oui à
ce qu’il m’était offert, oui pour vivre en vérité
mon histoire, aujourd’hui et maintenant, sans me préoccuper
du futur.
Laissons-nous brûler le cœur par la résurrection
!
Levons nos têtes sans cesse vers un Dieu qui est amour !
Espérons la vie du plus profond de nos êtres !
Et pour la petite histoire, je vais épouser celui qui m’a
envoyé par mail le " super plan "… !
J’étais probablement intéressé par l’aspect sensationnel des nombreux témoignages
Depuis
le temps que je rencontrais des personnes transformées par
leur passage à Medjugorje, j’avais un grand désir
de m’y rendre. J’étais probablement intéressé
par l’aspect sensationnel des nombreux témoignages. Mais
ma motivation plus profonde étais que je ne voulais pas manquer
un rendez-vous avec Marie si elle venait effectivement nous rendre
visite aujourd’hui dans un coin du monde.
En
termes de miracles et de sensationnel, ça n’est pas tombé
sur moi : je suis reparti avec les petits problèmes de santé
que j’avais amenés (opérés avec succès
depuis). En revanche, j’ai été invité à
être le témoin de très belles transformations
chez les autres. Des langues qui se délient, des visages
qui s’éclairent de sourires. Pourquoi en vouloir plus quand
mon esprit cartésien finit toujours par dénigrer,
dans sa mauvaise foi évidente, les signes plus grands et
plus manifestes qu’il a pourtant reçus !
Ainsi,
mon souvenir bien vivant de Medjugorje est surtout celui de l’esprit
incroyablement fraternel qui s’est installé entre nous, les
pélerins du car couchette. Le Père Francesco et ses
discours, aussi bien construits qu’amicaux, y est vraiment pour
quelque chose. En fait chacun a joué le jeu en se révélant
aux autres avec le plus de vérité possible. J’ai vu
l’Eglise en marche constituée de jeunes et moins jeunes avec
leur faiblesses et leur meurtrissures (mouaip, ce sont un peu des
grands mots, mais c’est ce qu’il faut pour retranscrire un frisson
de joie). J’ai aimé voir le désir de servir et de
partager, de dialoguer et de réaliser de grandes projets
à la gloire de Dieu. Et j’ai vu l’Espérance distribuée
sans compter.Et avec tout ça, je ne suis même pas sûr
d’avoir changé : la seule des cinq pierres* qui me réjouisse
sans questions est l’Eucharistie. Pour le reste, une démarche
de confiance et de courage est un préalable nécessaire.
*:
chapelet prié avec le cœur, Eucharistie, Bible, Jeûne,
Confession mensuelle.
Je suis née dans une famille chrétienne, mais j’ai vécu jusqu’à l’âge de 33 ans comme si DIEU n’existait pas.
Je suis née dans une famille chrétienne, mais j’ai vécu jusqu’à l’âge de 33 ans comme si DIEU n’existait pas. A 28 ans, j’ai rompu une relation amoureuse qui a duré 15 ans. Je travaillais mais ça n’allait pas très fort non plus dans ma vie professionnelle. Je rencontrais beaucoup d’épreuves tant dans ma vie privée que professionnelle et cela ne faisait que m’éloigner de DIEU que j’en voulais pour tant d’épreuves. J’étais en colère et découragée. Je ne connaissais pas MARIE et encore moins JESUS. Je me tournais vers des médiums pour me lire l’avenir et comme rien n’arrivait j’étais encore plus découragée.Il faut dire que j’ai été blessée et trahit en amour par un garcon infidèle et menteur. Je rêvais de vengeance et j’étais très amère. Un jour où j’étais en congée, après avoir fait une longue marche, je suis rentrée et pris un livre au hasard dans la bibliothèque : c’était un vieux livre appartenant à ma mère et s’intitulant "NOVISSIMA VERBA Derniers entretiens de Ste-Thérèse de l’Enfant-Jésus" mai-sept 1897. Je connaissais encore moins cette Sainte. Mais ce qui se passa, je n’arrive toujours pas à comprendre. Je me rappelle que c’était fin septembre et début d’octobre 2002, j’ai feuilleté le livre et commencé à m’interresser à cette Ste Sainte. Dans la foulée, j’ai commencé à lire la bible et chercher des informations sur la mère de Jésus. Tout cela assez secrètement mais avec persévérance. Un changement s’opérait en moi que je percevais mais ne comprenais pas encore. Nœl approchait et l’envie d’aller à la messe était très forte, cela malheureusement ne se fit pas cette année là, un empêchement par rapport à mon travail mais je pense que je n’étais pas prête. En février 2003, mois de mon anniversaire et année de mes 33 ans (coincidence ?) Je reçu un livre de Medj "Le triomphe du cœur" de Sœur Emmanuel, je le lis d’un seul trait et fis ainsi connaissance avec MARIE. Ce fut le début. Je pris tout de suite la décision d’aller à MEDJ dès que possible cad l’année suivante et commença ainsi ce que j’appelle ma reconversion. Une amie s’y étant rendue me ramena un chapelet et je reçu un livre de prière du Fr SLAVKO B. dans lequel j’étais sans cesse plongée. On ne me reconnaissait plus, et je ne me reconnaissait plus. Je me tournais vers MARIE comme si elle était un phare qui me guidait : je priais le rosaire, il m’arrivait de jeuner, lisais la bible et commencais à aller à la messe. Sans le savoir, je suivais les messages de la Vierge à MEDJ. Des changements s’opéraient dans ma vie, et j’eus le courage de postuler pour un autre emploi. Pendant 5 mois cette nouvelle société m’a fait passer différents entretiens et test, tout le long de mes différents entretiens, Marie n’a cessé de m’accompagner. Ma candidature fut acceptée dans la même année et où aujourd’hui j’occupe un poste de direction. Le travail n’est pas facile mais je ne suis pas toute seule. Pour la petite histoire, j’ai reçu ma réponse d’embauche à ce nouvel emploi le 1er octobre 2003 fête de Ste Thérèse de l’E-J que j’avais rencontré un an avant à la même période. Quelques temps avant, en juillet, j’avais pris la décision d’aller à MEDJ et je pris l’avion pour ce premier grand voyage avec un groupe de pélerins qui m’étaient complètement inconnus le 13 octobre 2003. Et là bas à MEDJ, je fis une rencontre innoubliable. Je compris alors que pendant tout ce temps, MARIE avait préparé mon cœur pour cette rencontre avec son Fils JESUS. Elle m’avait guidé jusqu’à Lui et je rencontrais JESUS à l’âge de 33 ans à MEDJ. Il se passa beaucoup de choses pendant cette retraite Christothérapie chez MARISA à la "CASA DI SAN JUSEPE". Je me suis confessée, chose que je n’avais pas faite depuis 15 ans et j’ai compris l’importance et le sens de la messe. Je garde également sur des photos prises sur le MONT KR. après le chemin de croix et à l’Oasis de la Paix des signes très particuliers et visibles et qui rendent perplexes tous ceux qui les voient. L’année suivante en 2004, je m’y suis rendue à nouveau pour une retraite et suis partie ensuite rendre visite à Thérèse à Lisieux. Je projette de repartir à nouveau en 2005 en Italie à Padre Pio puis à MEDJ. La boucle sera bouclée puisque les deux saints qui m’ont guidés pendant cette année 2003 sont Thérèse et Padre Pio. Mes deux pèlerinages ont été différents mais aussi intenses. Aujourd’hui ma foi en Dieu est toujours aussi forte sinon plus. Même si mon travail me prend beaucoup de temps, je prends le temps de prier, avec le CD du rosaire en voiture dans les embouteillages ou le chapelet de la divine miséricorde le soir... Je peux dire aujourd’hui que Thérèse m’a sauvée en me conduisant vers MARIE qui m’a conduite vers son Fils. A MEDJ, certaines blessures se sont refermées, je ne ressens plus le besoin de blesser et j’ai pardonné. Avant je posais des ultimatums à Dieu, je paniquais devant le temps qui passe et m’inquiétais de ne pouvoir fonder ma propre famille. Aujourd’hui à 35 ans, je suis toujours célibataire à la surprise de beaucoup qui me trouvent jolie et qui ne comprennent pas. Moi aussi je ne comprends pas pourquoi je n’ai personne mais je ne suis pas la seule à vivre cela de nos jours et je ne m’inquiète plus du temps qui passe et reste confiante dans les desseins de DIEU en me disant qu’il sait mieux que moi ce dont j’ai besoin et quand cela doit m’arriver. Lorsque je doute et dans les moments de découragement, je confie tout à MARIE en lui demandant la grâce de pouvoir m’abandonner au PERE; Il s’agit vraiment d’un résumé de tout ce que je vis depuis que j’ai découvert DIEU à 33 ans. Depuis 2 ans ma vie est jalonnée de signes que laissent les Saints, mon Ange Gardien, Marie, et JESUS.